Daily news and alerts about Tunisia



• twitter • blog • youtube • facebook • 

La Directrice générale de l'UNESCO condamne la destruction du mausolée de Saïda Aïcha Manoubia, à Tunis

(download)

20.10.2012 - UNESCOPRES

La Directrice générale de l’UNESCO condamne la destruction du mausolée de Saïda Aïcha Manoubia, à Tunis

La Directrice générale a vivement condamné la profanation et le saccage du mausolée dédié à l’une des saintes soufies les plus vénérées de Tunisie, Saïda Aïcha Manoubia et exhorte les autorités tunisiennes à prendre toutes les mesures nécessaires pour que les sites du patrimoine culturel qui portent la mémoire et l’identité du peuple tunisien soient protégés contre tout acte visant leur intégrité.

 

« Porter atteinte aux lieux de la mémoire populaire et de l’histoire de la Tunisie, c’est commettre un crime contre le peuple tunisien qui s’est toujours distingué, au cours de son histoire, par sa tolérance et son respect de la diversité des croyances et des pratiques spirituelles », a déclaré la Directrice générale, qui tient à rappeler à cette occasion le rôle essentiel que doit jouer la société civile dans la préservation du patrimoine exceptionnel de la Tunisie pour les générations futures.

La Directrice générale a par ailleurs rappelé que l'UNESCO était prête à apporter tout le soutien nécessaire aux autorités tunisiennes pour la réhabilitation et la sauvegarde des biens culturels de la Tunisie, en particulier les plus vulnérables.

 

http://www.unesco.org/new/fr/media-services/single-view/news/unesco_director_general_condemns_destruction_of_sayyeda_manoubia_mausoleum_in_tunis/

 


Take a stand for cultural heritage under attack
!

Speak up on

facebook.com/unesco

twitter.com/unesco

plus.ly/unesco

 

Agissons contre les attaques au patrimoine culturel

Exprimez-vous sur

facebook.com/unesco

twitter.com/unesco

plus.ly/unesco

Posted by Malek 

Comments [0]

La Directrice générale de l'UNESCO condamne la destruction du mausolée de Saïda Manoubia #tunisie

(download)

20.10.2012 - UNESCOPRES


La Directrice générale a vivement condamné la profanation et le saccage du mausolée dédié à l’une des saintes soufies les plus vénérées de Tunisie, Saïda Aïcha Manoubia et exhorte les autorités tunisiennes à prendre toutes les mesures nécessaires pour que les sites du patrimoine culturel qui portent la mémoire et l’identité du peuple tunisien soient protégés contre tout acte visant leur intégrité.

 

« Porter atteinte aux lieux de la mémoire populaire et de l’histoire de la Tunisie, c’est commettre un crime contre le peuple tunisien qui s’est toujours distingué, au cours de son histoire, par sa tolérance et son respect de la diversité des croyances et des pratiques spirituelles », a déclaré la Directrice générale, qui tient à rappeler à cette occasion le rôle essentiel que doit jouer la société civile dans la préservation du patrimoine exceptionnel de la Tunisie pour les générations futures.

La Directrice générale a par ailleurs rappelé que l'UNESCO était prête à apporter tout le soutien nécessaire aux autorités tunisiennes pour la réhabilitation et la sauvegarde des biens culturels de la Tunisie, en particulier les plus vulnérables.

 

http://www.unesco.org/new/fr/media-services/single-view/news/unesco_director_general_condemns_destruction_of_sayyeda_manoubia_mausoleum_in_tunis/

 


Take a stand for cultural heritage under attack
!

Speak up on

facebook.com/unesco

twitter.com/unesco

plus.ly/unesco

 

Agissons contre les attaques au patrimoine culturel

Exprimez-vous sur

facebook.com/unesco

twitter.com/unesco

plus.ly/unesco


FIDH - Tunis, capitale mondiale des droits de l’Homme : les autorités s’engagent à relever le défi

Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH)

Communiqué de presse

Tunis, capitale mondiale des droits de l’Homme : les autorités s’engagent à relever le défi

http://www.fidh.org/Tunis-capitale-mondiale-des-droits-12315


Paris, Tunis, 19 octobre 2012 - A l’issue d’une mission menée à Tunis afin de rencontrer les autorités transitoires au plus haut niveau, la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme confirme sa décision de tenir son prochain Congrès triennal à Tunis, en mars 2013.

« En tenant notre Congrès en Tunisie, nous ferons de ce pays la capitale mondiale des droits humains. Nous plaçons donc la barre très haut, et nos attentes à l’égard des autorités de transition sont considérables », a déclaré Patrick Baudouin, Président d’Honneur de la FIDH qui a participé à la mission.

Aux côtés de ses trois organisations membres en Tunisie, la FIDH a demandé aux autorités que la Constitution consacre expressément l’universalité des droits de l’Homme et la primauté du droit international sur le droit interne, sans aucune réserve. La consécration pleine et entière des principes d’égalité et de non-discrimination constitue également pour la FIDH un élément incontournable de la future constitution tunisienne (lire la note de position de la FIDH à ce sujet).

La FIDH a fait état de sa préoccupation concernant la situation des droits humains en Tunisie, évoquant en particulier quelques cas emblématiques concernant lesquels les ONG tunisiennes se sont mobilisées, comme les poursuites judiciaires à l’encontre du Doyen de l’université de la Manouba, la condamnation de deux jeunes de Mahdia ou les récentes poursuites pénales intentées contre une jeune femme violée par des policiers. La FIDH s'est inquiétée de la multiplication des poursuites judiciaires pour des « atteintes à l'ordre public », poursuites qui sanctionnent en réalité les libertés. Elle a par ailleurs exhorté les autorités à mettre un terme à l’impunité des auteurs de violences, en particulier celles qui se multiplient à l'égard des femmes.

La FIDH a appelé les autorités rencontrées à garantir la mise en place rapide d’une instance indépendante de régulation du pouvoir judiciaire pour remplacer le Conseil supérieur de la magistrature hérité de l’ancien régime. « Une justice indépendante est la colonne vertébrale de l’Etat de droit. Mettre fin aux graves dysfonctionnements de la justice doit être une priorité absolue pour ce gouvernement. Les actes de torture et les violences policières, mais aussi les actes de violence perpétrés par des groupes extrémistes doivent être sanctionnés avec fermeté », a déclaré Sidiki Kaba, Président d’Honneur de la FIDH, membre de la mission. « Nous avons également plaidé pour des  avancées rapides concernant la justice transitionnelle», a-t-il ajouté.

La FIDH a exprimé ses inquiétudes concernant la liberté des médias. La délégation de la FIDH s’est d’ailleurs rendue au siège de Dar Assabah pour exprimer sa solidarité avec les journalistes en grève de la faim, et a évoqué leur situation avec le Chef du gouvernement, qui a pris l’engagement de résoudre très rapidement ce conflit dans le respect de la liberté de la presse. Elle a également rencontré le Secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) au lendemain de la conférence pour le dialogue national organisé par le Syndicat et des partenaires de la société civile.

Les autorités ont confirmé au plus haut niveau et sans équivoque leur soutien à la tenue du Congrès de la FIDH à Tunis. Elles ont garanti qu’elles mettront tout en œuvre afin de permettre la tenue de cet événement dans les meilleures conditions possibles.

Le Congrès de la FIDH réunira 300 défenseurs des droits de l’Homme du monde entier et de Tunisie. La première organisation de défense des droits de l’Homme du monde arabe et d’Afrique, la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme, a été établie en Tunisie dès 1978. La Tunisie est également le premier pays de la région à avoir renversé la dictature, initiant le « printemps arabe ». La Tunisie est un laboratoire, et nous espérons qu’elle pourra constituer un modèle pour les autres pays de la région. « C’est donc tout naturellement que la FIDH a choisi de tenir son Congrès à Tunis du 7 au 11 mars prochain. La balle est maintenant dans le camp des autorités », a conclu Souhayr Belhassen, Présidente de la FIDH.  

Posted by Malek 

Comments [0]

الرابطــــة التونسيـــة للدفـــاع عن حقـــوق الإنســان تطالب بحلّ ما يسمّى بـلجان أو رابطات "حماية الثورة"

تونس في 19 أكتوبر 2012 

بيـــــــان

تتابع الرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان بانشغال كبير تطور أحداث العنف السياسي الممنهج الذي تشهده بلادنا منذ شهور عدّة والذي طال شرائح عديدة من المجتمع وخاصة السياسيين والحقوقيين والجامعيين والمبدعين والمواطنين من أجل مطالبهم بالحرية والكرامة والمساواة والشغل والعدالة الإجتماعية.

وعلى إثر الهجوم الذي قامت به مجموعة من الأشخاص المنتسبين لما يسمّى بالرابطة الشعبية لحماية الثورة بتطاوين على مقرّ الإتحاد الجهوي للفلاحين والذي أسفر عن وفاة السيد لطفي نقض رئيس الإتحاد الجهوي للفلاحين والمسؤول الجهوي لحزب نداء تونس إلى جانب الجروح المتفاوتة لعدد آخر من الأفراد والأضرار المادية،

فإنّ الرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان :
إذ تعبّر عن تمسّكها بالحق في التنظّم والتظاهر السلمي وضرورة حمايته أمنيّا وإذ تذكّر بمواقفها المبدئية المطالبة للسلطة بالتصدّي لأعمال العنف ومقاضاة مرتكبيها وإذ تأسف على عدم اتخاذ أي إجراء قانوني الأمر الذي شجّع المجموعة العنيفة على مواصلة ممارسة العنف والذي اتّخذ منحى خطيرا، فإنها :

- تدين بشدّة هذا الإعتداء الهمجي والعنف المنظّم بكافة أشكاله وتطالب بفتح تحقيق عاجل ومستقلّ يكشف النقاب عن ملابسات الأحداث التي حصلت ومن يقف وراءها. 
- تؤكّد على ضرورة إعادة تشريح جثّة الهالك لكشف الحقيقة بعد أن صرّح ممثّل وزارة الداخلية أنّ الإختبار الطبّي الأوّل تضمّن سلامة الجثّة من أيّ اعتداء فيما صرّح أهالي الهالك وشهود عيان أنّه تعرّض إلى تعنيف شديد قبل وفاته.

- كما تطالب بحلّ ما يسمّى بـلجان أو رابطات "حماية الثورة" التي تدعو إلى العنف ضدّ الأشخاص والممتلكات أو مارسته في العديد من الحالات ممارسة تهدّد السلم الإجتماعي.
- تدعو القضاء إلى تحمّل مسؤوليته في كشف الحقيقة وتتبّع كلّ من تورّط من رابطات حماية الثورة أو غيرها من المجموعات في ارتكاب جرائم في حقّ الأشخاص والممتلكات.

الرابطــــة التونسيـــة للدفـــاع عن حقـــوق الإنســان
عن الهيئــة المديـــرة
الرئيــــس
عبد الستــار بن موســى

عمارة ستوديو 38 – الطابق الخامس - 56، شارع الحبيب بورقيبة – تونس – الهاتف : 71.258001
الفاكس : 71.257005 - البريد الإلكتروني : contact@ltdh-tunisie.org

IFEX-TMG calls on #Tunisia to guarantee media independence

Arabic online :

تدعو آيفكس- مجموعة مراقبة حالة حرية التعبير في تونس الحكومة التونسية لضمان استقلال الإعلام في الوقت الذي يقوم به الصحفيون بإضراب عام


IFEX-TMG calls on Tunisia to guarantee media independence

Image009
                                                                                                                                                                                               
Image010

 

(IFEX-TMG) - 17 October 2012 - A general strike for media employees is taking place today as Tunisian authorities continue to resist demands to make constitutional guarantees on freedom of expression and recall controversial media sector appointments. The IFEX Tunisia Monitoring Group (IFEX-TMG), a coalition of 21 IFEX members, stands strongly with the media sector in its action, calling on the Tunisian government to reconsider its policies regarding the media and to engage in meaningful dialogue that will secure its independence.

The National Syndicate for Tunisian Journalists (SNJT) called the strike after negotiations with the government broke down over a set of demands delivered on 25 September. The SNJT called for media freedoms and freedom of expression to be included in the constitution and for the government to immediately implement both Decrees 2011-115 and 2011-116 pertaining to the freedom of the press, printing and publishing and the independence of audio-visual communication, including an authority to appoint directors of the public media.

According to media reports, the governing troika agreed to implement Decree 2011-116, which lays the groundwork for a newly independent broadcast media through the creation of the Independent High Authority for Audiovisual Communications (HAICA) - but only until new structures are in place under the forthcoming Constitution. In addition, while news reports claimed that blasphemy would no longer be punished under Tunisia's draft Constitution, in fact a reference to blasphemy has instead been moved from the section on rights and liberties to the preamble of Tunisia's draft constitution. The ruling party Ennahdha proposed the so-called “blasphemy law”, which prohibits “insults, profanity, derision, and representation of God and Mohammed,” reports Tunisia Live.

However, concerns over recent government appointments to top positions within prominent media outlets, as well as regular attacks on journalists and media professionals, have culminated in the SNJT's call for general action.

Workers at Dar Assabah newspaper have been on strike since 1 October in protest against the appointment of new general director Lotfi Touati, a former police commissioner under the Ben Ali regime. Journalists and their representatives were not consulted prior to the appointment and subsequently many of them went on hunger strike to force the government to enter into direct dialogue. The strike was suspended on 7 October for five days to allow for negotiations, but the walkout resumed on 12 October with authorities so far offering no constructive solutions to the journalists' demands.

On 1 October, 60 journalists and staff of Assour newspaper began a hunger strike in protest against a government-imposed advertising policy. According to sources at the publication, the Tunisian government is punishing the newspaper by banning it from obtaining any official advertising. The IFEX-TMG denounces this attempt at censorship and calls on the Tunisian authorities to ensure public advertising is kept independent from political power.

Individual journalists are being targeted for their involvement with the strike. On 25 September, authorities summoned six Dar Assabah journalists for interrogation at Al-Manzeh police station “for hindering the process of work.” On 1 October, Touati sacked cartoonist Hamdi Al-Mazhoudi for his role in the strike. In addition, Touati prevented investigative journalist Menea Arfawi from entering the building after arbitrarily ending her contract. Arfawi is a leading figure in the protest against the appointment of Touati.

Reports also confirm that in late September, government-appointed directors of national radio replaced several well-known radio producers and dissolved the established editorial committee and editorial council.

The IFEX-TMG condemns the punishment of journalists for taking part in peaceful actions and calls for the reinstatement of all those removed from their positions as a result.

The IFEX-TMG calls on the Tunisian authorities to take into account the demands of striking journalists and enter into serious and constructive dialogue to resolve the crisis. A general strike is in the interests of no one, least of all the people of Tunisia who will be deprived of news and information at this crucial time. However, the IFEX-TMG acknowledges that as a direct result of the government's failure to implement much-needed protections for the independence of the media, for many journalists the current spate of industrial actions is the last recourse in pushing for transparency and open consultation when it comes to the appointment of media directors.

“Such positions carry great power and responsibility for shaping the future of independent public media in Tunisia, and those chosen to lead this process must have the respect and support of the profession they represent,” said Andrew Heslop of the World Association of Newspapers and News Publishers (WAN-IFRA).

 

Arabic Network for Human Rights Information
ARTICLE 19
Bahrain Center for Human Rights
Cairo Institute for Human Rights Studies
Canadian Journalists for Free Expression
Cartoonists Rights Network International
Egyptian Organization for Human Rights
Freedom House
Index on Censorship
International Federation of Journalists
International Federation of Library Associations and Institutions
International Press Institute
International Publishers Association
Journaliste en danger
Maharat Foundation
Media Institute of Southern Africa
Norwegian PEN
World Association of Community Radio Broadcasters - AMARC
World Association of Newspapers and News Publishers
World Press Freedom Committee
Writers in Prison Committee, PEN International

 

 

IFEX Tunisia Monitoring Group
campaigns (@) ifex.org
http://www.facebook.com/IFEXTMG
@IFEXTMG